Quand les fils se touchent

jeudi, mars 16, 2006

“Je t’aime tellement que j’hallucine...”

Et le disque tourne, et tourne, et tourne. Malajube m’éjacule pompeusement sa musique à l’oreille.
Mmm c’est bon.. Première écoute, je ne m’efforce même pas à détecter les textes du délicieux criard qu’est Julien Mineau. Les mélodies me donnent suffisamment d’apesanteur en me tenant bien “groundé” ce qui me donne l’image d’un t-shirt virevoltant au vent sur une corde à linge... mais à l’envers (!)... J’adore cette sensation.

Il y a de cela un mois. Je mettais mes plus belles jeans et je me rendais chez le marchand de plaisir chercher mon bonbon sonore, deuxième opus d’un chouchou musical de ma discothèque. Depuis, le cerveau en proie à une outrageuse rage de danse incontrôlable, je continue le plaisir en écoutant les paroles, les mélodies, les guitares, les arrangements... et je ne me tanne pas. Je ne me tannerai jamais.
Je suis vendu, c’est fait.

Amen.

2 Comments:

Blogger Juli said...

Pour moi, trop ce fut comme pas assez... Toujours l'entendre en bruit de fond sans jamais l'écouter m'en a écoeuré avant même que je ne sache ce que c'était. L'année prochaine, peut-être, ou du moins quand j'aurai décanté un peu!!

12:54 p.m.  
Blogger igby said...

tu sais pas ce que tu manques!!

1:14 p.m.  

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