Quand les fils se touchent

mercredi, mai 17, 2006

Encore

Le flux s’est tu, ça me tue. Je serai nu si je ne me déshabille pas seul et corrompu si ma volonté laisse mon corps se retrouver dévêtu par l'inconnu. Je m’y remet avec intérêt pour l’imparfait.
Féroce désir d’affirmation en régénération: j’ai encore envie d’évolution. Dessiner ma destinée.
Art, je pars!! :)

1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

l'imparfait étant partout, l'inspiration te manquera pas! lol

5:52 p.m.  

Publier un commentaire

<< Home