Quand les fils se touchent

mercredi, juillet 05, 2006

À coeur ouvert

J'ai perdu ma muse! Elle se cache je-ne-sais-où à faire je-ne-sais-quoi. Et je m'ennuie. Ces soirées interminablement longues me manquent. Celles où on ne glandait absolument rien, où on pouvait passer des heures couchés sur le dos à ne rien dire et à tout comprendre. Ces semaines complètes à se cacher de tout le monde, à se terrer au fond de nos cabanes et à chialer contre tout et tous.

Tout est exactement pareil mais terriblement différent. J'ai vraiment hâte que tu partes. La fin n'en sera ainsi que plus proche. La communication en prendra certainement un gros coup, mais les histoires n'en seront que meilleures. On pourra reprendre le temps perdu avec des anecdotes toutes neuves, avec de l'inédit. Ça fera changement! Le sablier reprendra il y a exactement un an, mais nous aurons changé. Ces deux années là nous seront rentrées dedans, peut-être même plus que les autres, mais de toute façon, on a peur de rien, non? Non, effectivement. Disons plutôt qu'on ne reculera devant rien, ce sera plus juste.

À quand notre prochaine semaine complètement non productive à papoter comme deux adolescents stupides face-à-face? Au fond, je souhaite que ce soit dans plusieurs mois, parce que ça voudra dire que tout se déroule bien. Mais merde que j'ai hâte de te voir et que je t'aime fort!!!

1 Comments:

Blogger igby said...

BORDEL que j'ai hâte!! N'oublie pas de tenir ma place au chaud. Le temps ne se rattrape peut-être pas, mais à nous deux, on forge 30 souvenirs à la journée alors je m'inquiète peu. Un jour pas si lointain, notre relation redeviendra tactile!
Je t'aimeeeeeee!!

Heureux, tu compteras des amitiés sans nombre,
Mais adieu les amis, si longtemps le temps devient sombre.

Je serai toujours là.
Quétaine le gars, hein?! Moi aussi je suis capable! :PPP

5:43 p.m.  

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