Quand les fils se touchent

vendredi, septembre 29, 2006

Ouin...

Pour les deux prochaines semaines, j'ai un piano à ma disposition. Ça c'est cool en criss. Pis qand il y a des textes qui traînent un peu partout, c'est encore mieux. Quand tout ce que tu veux, c'est tuer le temps, ça devient excellent.

mercredi, septembre 27, 2006

Vincent Vallières

Lui, vraiment, il l'a compris l'affaire... Juste envie de flotter pour à soir.

samedi, septembre 23, 2006

Mélancolie automnale

Engourdissement du cerveau après une nuit agitée. Impossible d'arrêter de cogiter, mais tout ça en dormant: pas très réparateur. Cigarette au bec, café en main, je m'assois sur le balcon du père en observant le paysage vu à maintes reprises, il y a si longtemps. Pas tant que ça, en fait, mais quatre ans, c'est assez long pour ramener la nostalgie. Cet arbre là, je le croyais mort... Mais non, j'ai trouvé des enveloppes piquantes dans la maison et des noisettes plus loin.

J'observe la volute qui s'envole et aperçois une araignée. Mes préférées, celles avec les gros culs. Ça, je m'en ennuyais pas. Je l'observe tout de même, en lui soufflant la fumée dessus, voir sa réaction. Elle s'active, tisse plus vite. Je continue. Elle se terre dans un coin et ne bouge plus. C'est plate, c'est moi qui suis supposée avoir peur, pas elle. J'écoute le silence qui sonne comme des chants d'oiseaux et d'insectes. Le papillon ne cesse de foncer dans la lumière et ça fait un toc à chaque fois. Sinon, rien: pas de sirène, pas de voiture, pas de gens qui parle fort. Trop calme, mais pour une fois, ça ne me dérange pas.

Je comprends pas pourquoi tout le monde déteste autant l'automne. C'est tellement beau, ça sent tellement bon. Tout est jaune rouge et orange et ça sent les feuilles qui moisissent avec les poêles à bois qui commencent à diffuser leur odeurs. Magique! Ça commence à être frais et vivable, c'est bien. L'automne, c'est la mise au point. On tue tout pour mieux renaître. Mais bon, je divague... C'est pourquoi je vais aller tuer les dernières buées de mon esprit avec une douche.

lundi, septembre 18, 2006

Deux vies...

Comme à toutes les maudites semaines qui passent, je travaillais jusqu'à sept heures. Mon amie et moi avions une petite fête au programme puisqu'une autre se tournait vers la trentaine. Comme il était trop tôt, on a décidé d'aller prendre un verre avant, histoire de passer le temps. On s'est retrouvée dans ce petit bar, coin St-hubert, hyper tranquille et sympathique. Du moins, quand il est n'est pas trop tard. On reprend le temps perdu en parlant de tout et de rien, de nos états d'âme. Puis vient le temps où on se dit qu'il faudrait peut-être aller manger si on veut arriver à une heure descente.

On pacte donc nos p'tits et on monte St-hubert en direction Mt-Royal, tout en continuant notre petite discussion. On était toute absorbée quand on a entendu un gros PAF et une femme crier juste à côté de nous, dans la rue. À peine besoin de tourner le regard pour voir cet immense chat blanc qui saute comme un malade dans le milieu de la rue. Vraiment, on aurait dit une annonce de Temptation, mais en vrai. On comprend alors tout de suite que c'est lui qui s'est fait passer dessus quand REPAF!!!! Une voiture de police passe dessus aussi. Toutes deux plantées-là, à regarder le chat se sauver dans sa maison et un couple en ressortir. Et prises d'un rire nerveux. Le policier recule en nous demandant où il était parti... et tombant face à face avec qui nous croyons être les propriétaires dudit chat.

Frappé deux fois en moins de dix secondes, et il court encore... Il ne devait pas lui en rester pour longtemps à celui-là.

samedi, septembre 16, 2006

Aujourd'hui...

C'EST LA FÊTE À LEW!!!!

vendredi, septembre 15, 2006

Tranche de vie...

Tôt ce matin, on m'a abandonné! Partie combattre les envahissants en me laissant toute seule à la maison! On m'avait dit, hier, que je ne la reverrais plus pour UN LONG MOIS(!) mais là, elle est partie!!! C'est la triste vérité.

En souvenir, elle nous a laissé sa brosse à dents. Elle trainait fièrement dans le verre ce matin. On s'est dit qu'on pourrait se la partager: chacun notre nuit. Pendant huit heures, un de nous aurait le privilège de l'avoir sous l'oreiller. Mais on s'est dit non. S'éloigner pendant une nuit de ce bien si précieux, impossible.

C'est pourquoi on l'a laissé dans son trône, parmis les autres.